dimanche 31 décembre 2006

The Fountain, de Darren Aronofsky (2006)

(le 31/12)
Dimanche après midi, The Fountain de Darren Aronofsky avec Hugh Jackman, Rachel Weisz.

Synopsis
The Fountain raconte le combat à travers les âges d'un homme pour sauver la femme qu'il aime.
Espagne, XVIe siècle. Le conquistador Tomas part en quête de la légendaire Fontaine de jouvence, censée offrir l'immortalité.
Aujourd'hui. Un scientifique nommé Tommy Creo cherche désespérément le traitement capable de guérir le cancer qui ronge son épouse, Izzi.
Au XXVIe siècle, Tom, un astronaute, voyage à travers l'espace et prend peu à peu conscience des mystères qui le hantent depuis un millénaire.
Les trois histoires convergent vers une seule et même vérité, quand les Thomas des trois époques - le guerrier, le scientifique et l'explorateur - parviennent enfin à trouver la paix face à la vie, l'amour, la mort et la renaissance.

Mon avis***
Comme le "catalogue" certains magazines de cinéma, c'est un film métaphorique sur l'amour et la mort. On voyage à travers trois époques: l'Inquisition Espagnole, le présent et le futur. J'ai lu une phrase qui résume assez bien "Le conquistador est le corps, le scientifique est le coeur et le voyageur est l'esprit", de cette histoire. L'interprétation des personnages est très justes, Hugh Jackman a réussi à se fondre dans c'est trois hommes différents mais oeuvrant pour une même cause.
Il parait que Darren a écrit cette histoire avant sa rencontre avec Rachel et bien je ne sais pas qu'elle est la femme qui lui a inspiré cette histoire mais elle a du beaucoup le marquer. On peut aussi penser qu'il a remanier le scénario depuis 5 ans et que son histoire avec Rachel Weisz y est un peu inscrite (?).
Dans le film, quand on voit pour la première fois le décor cosmique dans lequel évolue le voyageur, j'ai eu un peu peur de voir apparaitre des graphismes à la "Blueberry" qui n'auraient ni queue ni tête mais heureusement le réalisateur fait un bon usage des effets cosmiques et ils sont justifiés par l'histoire (pas comme dans le film précédemment cité!).

mercredi 27 décembre 2006

The Holiday, de Nancy Meyers (2006)

(27/12/2006) : The Holiday de Nancy Meyers avec Jude Law, Kate Winslet, Cameron Diaz, Jack Black.

Synopsis
Une Américaine (Amanda) et une Anglaise (Iris), toutes deux déçues des hommes, décident, sans se connaître, d'échanger leurs appartements. Iris, va débarquer dans une demeure de rêve tandis que la distinguée Amanda découvre une petite maison de campagne sans prétentions. Les deux femmes pensent passer de paisibles vacances loin de la gente masculine, mais c'était sans compter l'arrivée du frère d'Iris dans la vie d'Amanda, et la rencontre de Miles pour Iris.

Mon avis ***
Enfin, une comédie romantique pour cette fin d'année. Décidément, il y a que les américains pour nous mitonner un film pareil. Ne vous laisser pas démoraliser par la durée de ce film "2h06" car vous les verrez pas passer. Les filles, vous craquerez comme toujours sur Jude Law, c'est normal, mais vous serez surprise par le charme de Jack Black, souvent habitué au rôle de comique sauf dans "King Kong". Ces messieurs ne seront pas en reste, avec la pimpante Cameron Diaz et la délicieuse Kate Winslet. Mention spéciale pour Eli Wallach, le scénariste retraité d'Hollywood. Il y a aussi les apparitions clin d’œil de Dustin Hoffman, Lindsay Lohan et James Franco.
Spoilers : j'ai adoré le rôle de Jude Law, on ne s'attend pas à ce que ce séducteur soit un veuf avec deux adorables filles de 10 et 8 ans. Et la scène où Amanda découvre qu'en fait Olivia et Sophie ne sont pas des conquêtes de Graham mais ses filles vaut sont pesant d'or ainsi que la touchante scène sous la tente. J'ai aussi craqué lorsqu'il lui déclare son amour et qu'Amanda ne réagit pas vraiment comme il faut. On se rend compte qu'il a étudié des acteurs comme Cary Grant pour préparer son jeu.
Le rôle de Kate Winslet (Iris) est tout aussi génial, la scène où elle remet enfin Jullian à sa place est digne des films des années 20-30 où les femmes avaient du tempérament.

mardi 26 décembre 2006

Déjà vu, de Tony Scott (2006)

26/122006 : Déjà vu de Tony Scott avec Denzel Washington, Jim Caviezel, Paula Patton et Val Kilmer.

Synopsis
Alors qu'il enquête sur l'explosion d'une bombe sur un ferry à la Nouvelle Orléans, l'agent Doug Carlin se voit enrôlé au sein d'une nouvelle cellule du FBI ayant accès à un appareil gouvernemental top secret permettant d'ouvrir une "fenêtre sur le temps", et ainsi de retrouver les preuves nécessaires à l'arrestation d'importants criminels. Cette fenêtre permet d'observer des événements dans le passé s'étant déroulés quatre jours, six heures et quelques minutes auparavant... pas une de plus, pas une de moins.
Durant son investigation, Doug va découvrir que ce que la plupart des gens pensent n'être qu'un effet de leur mémoire est en fait un don bien plus précieux, une force qui le mènera vers une course contre la montre pour sauver des centaines d'innocents.

Mon avis ***
Bon, je vous cacherai pas que j'avais quelques appréhensions en allant voir ce film. Mais pour une fois j'avais lu une critique plutôt bonne dans le magazine Première, alors je me suis laissée tenter. Et le bien m'en a pris, car le film est plutôt une bonne surprise. Tony Scott n'en fait jamais trop et balade le spectateur d'un à l'autre du film (sans le perdre), en sèment par-ci par-là des indices visuels. C'est une sorte d'enquête classique dans lequel on insère quelques scènes de science fiction.
Ce film est aussi un hommage au courage et la résistance dont sont capables les habitants de la Nouvelle-Orléans, où le tournage à eu lieu.

vendredi 22 décembre 2006

Le héros de la famille, de Thierry Klifa (2006)

 21/12/2006 : Jeudi au soir, ouf ça y est mes paquets cadeaux sont prêts, je mérite bien un petite séance de ciné. En plus la veille chez M.O. Fogiel, j'avais entendu la promo du film Le héros de la famille de Thierry Klifa du coup après avoir hésité avec Eragon, j'ai choisi ce film.

Synopsis
A Nice, le temps d'un héritage dont l'enjeu est le "Perroquet bleu", un cabaret aux nuits magiques, les membres d'une famille éclatée se retrouvent malgré eux. C'est l'heure des explications, des règlements de compte, des aveux, des alliances insolites, des tiroirs secrets que l'on ouvre sans savoir qu'on va y trouver un peu de son histoire...
Dans cet univers, glamour et mystérieux, d'apparences et de portes dérobées, où il est parfois plus facile de s'inventer un personnage que d'assumer ce que l'on est, connaît-on vraiment ses parents, ses anciennes amours, ses enfants, ses amis ?

Mon avis **
A la Mort de Gabriel(le), la famille éparpillée se retrouve et les secrets se dévoilent. Les enfants délaissés, les femmes éconduites ou perdues reviennent, de nouveaux membres apparaissent. Le vieux Gabriel avait-il prévu tout cela en choissant de disparaître. En tout cas tout ce joue autour du Cabaret le Perroquet Bleu, lieu de nuit de Nice. Ces personnages vont se découvrir et redécouvrir comme s'ils avaient oublié ce qui les avaient animés autrefois. Les acteurs : Simone Garcia (Miou miou) est bien dans ce rôle (même si je l'a préféré dans "Mariages"), Alice Mirmont (Catherine Deneuve) est une femme à fort caractère, un peu trop sûr d'elle parfois, mais son expérience de la vie pourra aider certain, Léa O'Connor (Emmanuelle BÈart) une femme forte en apparence et fragile à l'intérieur, c'est souvent le cas dans ces derniers films, ici en plus on peut l'entendre chanter, pour la première fois depuis "8 Femmes". Mais la plus aboutie, c'est Géraldine Pailhas, qui a d'ailleurs un joli brin de voix. Le personnage féminin que je regrette de ne pas avoir plus vu est celui de Pamela (Valérie Lemercier) en meneuse de revue. Dans les hommes qui les accompagnent et qui, il faut le dire, on la part la plus intéressante, on trouve Nicky Bensalem alias "Guazzini" (Gérard Lanvin), fils adoptif de Gabrielle, et pèe de Marianne (Pailhas) et Nino Bensalem (Michaël Cohen). Nino le fils cadet comptable/homosexuel qui rejette son père. Et Gabriel(le) Stern (Claude Brasseur), "le héros de la famille", disparu en laissant derrière lui une famille meutrie par les mensonges et les non-dits, par égoïsme sans doute mais peut être pas. Il réapparait sous la forme de vision à Nicky. L'acteur Gilles Lellouche (JÈrome) fait une apparition rapide dans le rôle du mari de Marianne avec qui elle ne veut pas avoir d'enfant mais en adopter un.

samedi 16 décembre 2006

Hors de Prix, de Pierre Salvadori (2006)

(16/12/2006)
Samedi après midi, séance détente mais pas Hors de Prix avec le délicieux couple Gad Elmaleh et Audrey Tautou est réalisé par Pierre Salvadori.

Synopsis
Jean, serveur timide d'un grand hôtel, passe pour un milliardaire aux yeux d'Irène, une aventurière intéressée.
Quand elle découvre qui il est réellement, elle le fuit aussitôt. Mais Jean, amoureux, se lance à sa poursuite et la retrouve sur la Côte d'Azur.
Rapidement ruiné, il finit par adopter le mode de vie de celle qu'il aime et s'installe comme homme de compagnie dans un magnifique palace.
Ce nouveau statut le rapproche d'Irène qui accepte enfin sa présence. Elle lui donne alors des conseils et sans s'en rendre compte, s'attache de plus en plus à lui...

Mon avis ***
J'ai beaucoup aimé ce film pour sa finesse et son glamour. Le couple Irene et Jean ne sont jamais méchant l'un envers l'autre, on sent leur complicité naître au fur à mesure du film. Le spectateur est séduit par leur maladresse et leur simplicité. Certaines scènes font sourir d'autres méritent un vrai éclat de rire.
J'ai notamment aimé la prestation de Gad Elmaleh, avec un personnage tout d'abord peu sûr de lui et qui gagne en assurance sans pour autant en faire trop.

mardi 12 décembre 2006

Les infiltrés, de Martin Scorsese (2006)


(le 12/12)
Mardi soir, j'ai enfin réussi à caser les 2h30 de Les infiltrés (The Departed) de Martin Scorsese. C'est vrai pas évident en cette période de préparation de fêtes.

Synopsis
A Boston, une lutte sans merci oppose la police à la pègre irlandaise.
Pour mettre fin au règne du parrain Frank Costello, la police infiltre son gang avec "un bleu" issu des bas quartiers, Billy Costigan.
Tandis que Billy s'efforce de gagner la confiance du malfrat vieillissant, Colin Sullivan entre dans la police au sein de l'Unité des Enquêtes Spéciales, chargée d'éliminer Costello. Mais Colin fonctionne en "sous-marin" et informe Costello des opérations qui se trament contre lui.
Risquant à tout moment d'être démasqués, Billy et Colin sont contraints de mener une double vie qui leur fait perdre leurs repères et leur identité.
Traquenards et contre-offensives s'enchaînent jusqu'au jour où chaque camp réalise qu'il héberge une taupe. Une course contre la montre s'engage entre les deux hommes avec un seul objectif : découvrir l'identité de l'autre sous peine d'y laisser sa peau...

Mon avis ***
Les plus : on rentre assez bien dans l'histoire suivant ces deux jeunes bleus tout droit sortis de l'école de police et qui se retrouvent sur le terrain. L'un infiltré pour le compte de la mafia va connaitre la belle vie alors que l'autre va suivre le chemin inverse pour infiltré la bande de Costello, le parrain local. Les acteurs sont crédibles dans l'exploration de leur conscience, de cette vie de double jeux. Chacun ressent un certain mal être qu'ils expriment et gèrent de manières différentes (drogue, sexe...). Le rythme s'accélère quand chacun découvre qu'il est en danger à cause de l'autre. Ce qui est intéressant c'est qu'ils ont commencé au même niveau, quartier irlandais, mais l'un a une histoire de famille qui lui colle à la peau, alors que l'autre est au-dessus de tout soupçon.
SPOILER : Il y a aussi un triangle amoureux pour faire monter la sauce (on dit 2 hommes 1 femme = 3 possibilités, bon là il y en a que 2).

Les moins : c'est un film américain, donc sa dégligue à tout va, il y a pas ou presque de séquence sans hémoglobine. Et alors le final je vous laisse imaginer, on se croirait dans "24h" (1h = minimun 5 mortspar moment).

Mentions spéciales pour les "vieux" qui menent leur baraque comme si le monde ne pouvaient tourner sans eux : Queenan (Martin Sheen) qui joue le chef de l'unité d'infiltration et le supérieur direct de Costigan (Leonardo Dicaprio) en infiltration. Le fabuleux Costello (Jack Nicholson) le parrain illuminé et --- (Alec Baldwin), responsable des enquêtes spéciales, il a sous ses ordres la jeune recrue Colin Sullivan (Matt Damon). Dans la catégorie "petits jeunes" on trouve donc Costigan et Sullivan mais aussi Digman (Mark Wahlberg) l'adjoint de Queenan, plus Barrigan (James Badge Dale, vu dans 24h chrono S3 et dans le crossover CSI Miami S4 et CSI Manhattan S2) le collègue de Sullivan. Et enfin la seule femme, la psy Madeleine (Vera Farmiga).

En conclusion, je vais essayer de voir "Infernal Affair", pour savoir si eux ils mettent moins d'hémoglobine parce que des morts il y en a surement autant.

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samedi 9 décembre 2006

Happy feet, de Georges Miller (2006)


09/12/2006 : Samedi après midi, après l'expo Les trèsors engloutis d'Egypte, je suis allée me mettre au chaud dans une salle que je ne connaissais pas celle de l'Ugc Maillot qui se situe au Palais des Congrès. Bon petit conseille, si vous n'avez pas la carte Ugc évité la car la place plein tarif est à 10,90€ (aussi cher que le Grand REx).
Je voulais voir Les infiltrés de Scorsese mais je suis arrivée trop tard donc, j'ai choisi un tout autre genre Happy Feet de de Georges Miller.

Synopsis
Un manchot de l'Antarctique n'arrivera jamais à rien s'il ne sait pas chanter, et le pauvre Mumble est sans conteste le pire chanteur du monde. Son talent à lui, c'est... les claquettes, qu'il pratique en virtuose, avec une ardeur confondante.
Bien que sa maman, Norma Jean, trouve ce don "tout à fait charmant", son père, Memphis, juge que "Ca ne fait vraiment pas pingouin". Tous deux savent aussi que leur rejeton ne trouvera l'âme soeur que le jour où il saura pousser son "chant d'amour".
Le hasard fait bien les choses : Gloria, la seule et unique amie de notre héros, est la meilleure chanteuse de la région. Mumble et elle sont copains depuis toujours, bien que cette gracieuse créature ait encore du mal à accepter son étrange "anomalie".
Banni de la tribu, Mumble se lie avec les Amigos de Terre Adélie, un groupe latino exubérant, mené par Ramon...

Mon avis **
C'est un dessin animée sympathique mais j'ai vu mieux. Les chansons donnent un bon rythme mais la version française ne colle pas vraiment avec les chansons en anglais. Au départ je voulais voir la version originale mais il y a peu de cinéma qui le passe en vo l'après midi. Mais je pense qu'il plaira beaucoup aux enfants car les personnages sont mignons et les chansons sont entrainantes.

lundi 4 décembre 2006

Mauvaise foi, de Roschdy Zem (2006) : avant première

...ou quand on a du mal à accepter les différences.

04/12/2006 : Hier soir, en direct de l'UGC Bercy, je suis allée voir l'avant première de "Mauvaise Foi" le premier long métrage de Roschdy Zem, qu'il co-écrit avec Pascal Elbé et ou on les retrouve tout les deux aux cotés de Cécile de France.

Synopsis
Ismaël et Clara sont très amoureux, en plus ils viennent d'apprendre qu'ils vont être parents. Que du bonheur! Oui mais voilà Clara et juive et Ismaël est arabe. Tout risque bien de se compliquer notamment la présentation des parents...

Roschdy Zem et Cécile de France. Wild Bunch Distribution Pascal Elbé et Cécile de France. Wild Bunch DistributionPascal Elbé et Roschdy Zem. Wild Bunch DistributionJean-Pierre Cassel et Roschdy Zem. Wild Bunch DistributionCécile de France. Wild Bunch Distribution

Mon avis ***
Pour son premier , Roschdy Zem nous réalise un film très actuel sur la difficulté de vivre avec des cultures différentes notamment dans un couple qui plus est va avoir un enfant. Les tensions du monde extérieur semblent s'engouffrer par la petite porte qu'est la venu d'un enfant et fait ressortir tous les doutes et les différences. Dans cette histoire le couple est composé d'une juive et d'un arabe pour qui tout va bien jusqu'à l'annonce de la venu de l'enfant. Alors tout semble se retourner contre eux, ainsi qu'eux même.
J'adore le trio Clara, Ismaël et Miloud, c'est une famille à part entière avec elle aussi c'est tension.
Une mention spéciale à J.Pierre Cassel en père juif, obsédé par le vélo (ca me rappelle le personnage de Vincent Perez dans Je reste).

samedi 2 décembre 2006

Babel, Alejandro Gonzalez Inarritu (2006)

02/12/2006 : Samedi matin, pour bien commencé mon week end, je suis allée voir Babel de Alejandro Gonzalez Inarritu à l'Ugc de Bercy.

Synopsis
En plein désert marocain, un coup de feu retentit. Il va déclencher toute une série d'événements qui impliqueront un couple de touristes américains au bord du naufrage, deux jeunes Marocains auteurs d'un crime accidentel, une nourrice qui voyage illégalement avec deux enfants américains, et une adolescente japonaise rebelle dont le père est recherché par la police à Tokyo. Séparés par leurs cultures et leurs modes de vie, chacun de ces quatre groupes de personnes va cependant connaître une même destinée d'isolement et de douleur... 

Mon avis ***
Le premier film de Inarritu que j'ai vu, fut 21 grammes, je suis donc allée voir ce film avec une curiosité mêlée d'inquiétude, sera-t-il aussi bien?
Eh bien, le verdict est sans appel, il est aussi bien voir même mieux. L'histoire est décomposée et mise dans un ordre particulier, mais elle est assez simple à suivre. Le thème de ce film est la solitude, que ce soit dans les désert marocain, Mexique ou dans une ville grouillante de vie.
Le spectateur suit trois histoires qui ne font qu'un tout car elles découlent toutes d'un même événement.

Les acteurs, dont certains sont très connus et d'autres moins ont ici la même importance. Aucun ne prend le dessus sur les autres.
Brad Pitt est dans un registre dramatique et il joue avec retenu un homme perdu et désespéré, qui arrive pourtant à gérer son anxiété.
Cate Blanchett est sa femme, une américaine victime d'un coup de feu. Gael Garcia Bernal est le neveu de la nourrice mexicaine des enfants du couple américaine.